Départ des oiseaux railleurs,
Ils attendent ces goélands faignants.
Une prison peut craindre une invasion,
Ils ne sont ni deux ni trois,
Mais tout du moins, bien trois cents.
L'odeur bizarre qui s'échappe du soleil,
De la douceur, de ces merveilles,
C'est bien à eux, oui bien à eux
Celle qui s'installe sur nos épaules
Quand on s'y attend
s'y attend l'moins...
Ou le plus? Qui sait,
Il faut se méfier des goélands prisonniers.
mercredi 28 janvier 2009
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c'est bon de te lire;
RépondreSupprimerun joli texte;
j'aimerai savoir le chanter.
je pourrai essayer, une fois,
si tu n'y vois pas d'inconvénient.
chanter chanter, je prends!
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